Théâtre

jecj-2019

Indépendante, mais reliée à des institutions régionales, nationales et européennes, l’association des Journées européennes de la culture juive propose une programmation ouverte sur le monde, sur les arts et les cultures, dans leurs richesses et leurs diversités.
Au cœur des relations intergénérationnelles, comme au cœur des civilisations, les impératifs : Innover – Transmettre, thème des JECJ 2019, créent les dynamiques des dialogues qui fondent les valeurs propres à exhausser la condition humaine.
Quelle devise plus heureuse pour vous convier à célébrer, à travers nos différentes manifestations, nos 20 ans de partage dans la joie, l’amitié et la réflexion ?

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Dimanche 8 septembre

Dimanche 8 septembre
Lancement régional annuel des JECJ-Lorraine

Lancement festif et itinérant sur 2 jours, autour de 3 événements

15h : Musée de la Cour d’Or

Dépôt d’une œuvre de l’artiste Alain Kleinmann,destinée à la salle Judaïca du Musée
maxime-des-peresEnrichir la salle Judaïca du Musée de la Cour d’Or, pour rappeler l’histoire de la présence juive à Metz et aussi pour favoriser le tourisme culturel et le rayonnement de notre métropole, constitue un enjeu visionnaire, à la hauteur des valeurs de partage et de pérennisation, portées avec dynamisme par le Musée et par les JECJ-Lorraine. Le dépôt solennel de l’œuvre «Archives II», de l’artiste Alain Kleinmann, vient généreusement conjuguer désirs, rêves et réalité.
Kaddish, à la mémoire des disparus, l’œuvre de Kleinmann est visionnaire, parce qu’elle s’affirme comme une œuvre de vie. Les visages, les traces, la matière qui se dérobe à l’immobilité, l’énergie d’une mémoire magnifiée par l’art et par les ressources infinies des livres, composent indubitablement un hymne à la vie ! L’aspect historique et mémoriel, aussi bien que ce triomphe de la vie, caractéristiques de l’art de Kleinmann, évoquent les traits singuliers et universels de la culture juive. On les retrouve, avec bonheur, aussi bien dans le visage si ancien, si jeune et si hospitalier du Musée de la Cour d’Or, que dans la vision qui anime les actions des JECJ.
Nous vous convions à la joie de célébrer, par l’œuvre de Kleinmann et au Musée de la Cour d’Or, le 1er volet du lancement 2019 de l’édition des vingt ans de l’association JECJ- Lorraine, sous le signe du thème annuel «Innover- Transmettre».
Entrée libre dans la limite des places disponibles – Verre de l’amitié

Jeudi 10 octobre, 20h et vendredi 11 octobre

Anaïs-Marty-Mazan

Jeudi 10 octobre, 20h et vendredi 11 octobre

Opéra-Théâtre Metz- Métropole
THEATRE : Clara Haskil, prélude et fugue

texte et mise en scène de Serge Kribus.
Avec Anaïs Marty-Mazan.
Spectacle unanimement salué par la critique. «Dès son plus jeune âge, Clara révèle des dons musicaux exceptionnels. Elle connaît aussitôt de terribles et incessantes épreuves. Une vie, avec pour tout bagage la musique, la sincérité, le fidèle sourire des amis et… un talent exceptionnel».
En partenariat avec l’Opéra-Théâtre Metz-Métropole
Billetterie Opéra-Théâtre- Metz-Métropole (18€ à 15€)

Mercredi 27 novembre, 20h

Mercredi 27 novembre, 20h

Salle de l’Agora, 4 rue Thédore de Gargan Metz Patrotte
THEATRE : Ici il n’y a pas de pourquoi

d’après PRIMO LEVI et PIERALBERTO MARCHÉ – Adaptation TONY HARRISON et CECILIA MAZUR – Mise en scène et avec TONY HARRISON – Musicien GUITOTTI
«Comment nommer l’innommable, comment dire l’indicible, comment se faire entendre de ceux qui ne l’ont pas vécu ? C’est à cette interrogation vitale, mortelle et sans réponse, que Primo Levi, rescapé du camp d’Auschwitz, s’est attaché, dès sa libération jusqu’à sa mort en 1987. L’onde de choc qu’a suscitée sa parole n’a jamais cessé de résonner au-delà de la Shoah et de ses circonstances historiques, pour se faire l’écho de tous les génocides, dont la nature même est hélas universelle.
Dans une obscurité trouée de fulgurances, un homme dépouillé évoque l’horreur au quotidien. Quelques barreaux dressés, un corps accroché à la vie immédiate, une gestuelle très physique scandée par le flux de paroles. Tony Harrisson est bouleversant de vérité. Derrière lui, la mélodie de cet extraordinaire hang, le musicien Guitoti en tire des accords métalliques, chantants, infiniment variés, doublés de ceux des bols tibétains. Etranges échos évocateurs et contrastés, dans le rythme lancinant du train, la stridence des sirènes, la sourde douleur du froid glacial, du vent, comme dans la luminosité de l’espoir et de la joie. D’une sobriété magnifique. A.D.». Billetterie Agora – 15€, 10€, 8€.
Réservations : info@festival-passages.fr et 03 87 17 07 06 de 9h30 à 12h et de 14h à 17h
En partenariat avec le Festival Passages – Spectacle présenté avec le soutien de l’UEM

Ici-il-n’y-a-pas-de-pourquoi