Mardi 29/11 20h30 – Cinéma Marlymages
PROJECTION – LES LEÇONS PERSANES de Vadim Perelman
En 1942, durant la Seconde Guerre mondiale, en France occupée, Gilles, fils d’un rabbin d’Anvers, qui souhaite fuir pour la Suisse, se voit arrêté par des soldats allemands. Il échappe à la fusillade dans une forêt en assurant aux soldats qu’il n’est pas juif mais persan. Ce mensonge lui sauve la vie car l’officier Klaus Koch, recherche quelqu’un parlant le persan. Avec : Nahuel Pérez Biscayart, Lars Eidinger :
Dimanche 4/12 17h – Cinéma Marlymages
PROJECTION – DÉBAT RESTE UN PEU de et avec Gad Elmaleh
Gad Elmaleh, établi aux États-Unis depuis trois ans, rentre en France sans oser avouer à sa famille qu’il le fait pour se convertir au catholicisme. Quand les parents de Gad, David et Régine, apprennent la nouvelle, c’est un cauchemar. Décidés à ramener Gad à sa judéité, ils vont faire de sa conversion un champ de bataille. Gad va toutefois réussir à leur faire comprendre que son amour sincère pour la Vierge Marie ne remet pas en question son identité, ni l’amour qu’il leur porte.
Mardi 6/12 20h30 – Cinéma Marlymages
PROJECTION – DÉBAT VOISINS Réalisation Mano Khalil
Le film observe l’absurdité d’une guerre qui menace à travers les yeux d’un jeune enfant de 6 ans qui vit à la frontière entre la Syrie et la Turquie au début des années 80, et qui voit monter le nationalisme, prémisse d’une période très sombre et d’une dictature sanglante.
Jeudi 8/12 17h et 20h30 – Cinéma Marlymages
PROJECTION -DÉBAT 17h – MY KID – Réalisation Nir Bergman
Aaron a consacré sa vie à élever son fils autiste Uri. Ensemble, ils vivent dans une routine coupée du monde réel. Cependant, Uri est à présent un jeune adulte, avec de nouveaux désirs et de nouveaux besoins. Alors qu’ils sont en route vers l’institut spécialisé qui doit accueillir Uri, Aaron décide de s’enfuir avec lui, convaincu que son fils n’est pas prêt pour cette séparation.
PROJECTION -DÉBAT 20h30 – Ziyara – Réalisation Simone Bitton
« Ziyara » signifie la visite aux saints, une pratique populaire commune aux juifs et aux musulmans du Maroc. Aujourd’hui les juifs sont presque tous partis, mais leurs saints sont toujours là. La blessure de la séparation est encore béante, l’écho des guerres d’Orient plane silencieusement sur la rencontre, mais la caméra retisse le lien, recueille anecdotes, sourires, hospitalité et bénédictions, portant le film vers une nouvelle complicité entre filmeuse et filmés.